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Derniers commentaires
21 mai 2008

La suite

Fenêtres un peu techniquement bloquées (et ne point m’énerver à comprendre, comme le reste de l’univers et en général absolument, le moindre particulier). La suite ailleurs, sans d’ailleurs bien savoir si ailleurs est plus « confortable ». La routine,...
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20 mai 2008

La perfection, quoique vive, qui éteint presque tout

La perfection, quoique vive, qui éteint presque tout
♦ Époque de silence. Époque où je puis me dire époque de silence, époque, de ces mots très difficiles, un silence. «Mais son silence n’avait même pas droit au silence, et par cet état absolu s’exprimait aussi bien la complète irréalité d’Anne que la présence...
17 mai 2008

La cave ou le tombeau, Igitur et sans fond

La cave ou le tombeau, Igitur et sans fond
♦ Un mot seulement, avant que ne m’emporte le jour. J’ai vécu (de Je), quelques jours de bonheur. Le soleil se lève, je dois redescendre parmi les hommes, sans savoir si je vais pouvoir, et encore moins comment. Le bonheur: la parfaite spatialité de l’Espace,...
12 mai 2008

La Voix de l’exorcisme (douceur de l’Extinction)

La Voix de l’exorcisme (douceur de l’Extinction)
Calme silence ici-bas de bloc chu de désastre obscur; après quoi je me relève, dans les ruines, pour voir si d’aventure, et de quelle sorte de créature, si c’est encore un homme ou seulement trace, archive de présence, quelque chose de senti. On ne cesse...
11 mai 2008

Quand la carcasse de l’Angoisse, bien mordue par le Vide,…

Quand la carcasse de l’Angoisse, bien mordue par le Vide,…
Les deux «fenêtres» me donneraient deux «murées de l’Être» (Catherine Malabou). Silence à venir de quelque six ou sept jours, ici et là. Une semaine entière ou presque sans «mon» ordinateur, autant dire sans «moi». Après l’excitation angoissée de la «rédaction»...
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10 mai 2008

Le train de l’oubli, quand même

Le train de l’oubli, quand même
♦ «Les lecteurs me gênent. J’écris, si vous voulez, pour le lecteur inconnu» (Henri Michaux)*. ♦ Le discord natif de la mémoire, l’oubli. Quand je m’aperçois que j’ai perdu la lettre de J.D., je ne sais trop quand je m’en aperçois, encore moins quand...
7 mai 2008

La douleur, de quoi à qui?

La douleur, de quoi à qui?
♦ Je n’appelle ça un «sentiment» que faute de connaître un autre «mot». Comme si tous les «mots», soudain, se refermaient sur un Sujet, scellaient un transcendantal (la bouche, le crâne, le tronc, la cervelle, une zone d’individuation matérielle, à scansion...
3 mai 2008

Angle mort nauséabond (la Suisse de Peter Rothenbühler)

Angle mort nauséabond (la Suisse de Peter Rothenbühler)
♦ On ne se quitte plus, petite maladie et «moi». Comprends pas. Sitôt que ça semble, ça revient. Mieux, je sors; moins bien. Comment rester plus tranquille que ces derniers jours, sais pas. Tant que l’on peut encore faire comme si elle n’était pas tout...
2 mai 2008

«Ce n’est pas ma faute», pour Gaotian

«Ce n’est pas ma faute», pour Gaotian
♦ Je me fais une idée assez simple de l’usage de ces fenêtres: sans autre «sens» que «pour moi», a priori. La propreté de pouvoir poser sans la moindre rature (toujours dans un cadre blanc), la possibilité de justifier, cette police que j’aime, et surtout...
1 mai 2008

Joyeux très sombre, Theodor W. Adorno

Joyeux très sombre, Theodor W. Adorno
Encore à nouveau malade sans pouvoir, paralysé, se tirer du côté de ce qui justement se dirait, si je pouvais. Me contenter de sortir quand même, seulement de corps (tant que dehors tient), encore debout. Entre deux fenêtres à peu près perdu, me demandant...
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